Un siècle que l'Armistice du 11 novembre 1918 est venu mettre un terme aux combats fratricides de la première Guerre Mondiale. A cet affrontement interminable nation contre nation, peuple contre peuple. Avec ses tranchées pleines de boue, de sang et de larmes. Ses orages de feu et d'acier qui grondaient par tous les temps et déchiraient les ciels les plus calmes. Ses champs de bataille éventrés et la mort omniprésente.
Le 11 novembre 1918, un grand soupir de soulagement traverse la France. Depuis Compiègne où l'Armistice a été signé à l'aube, il se propage jusqu'aux champs de bataille. Enfin après quatre interminables années de bruit et de fureur, de nuit et de terreur, les armes se taisent sur le front occidental.Enfin, le vacarme funeste des canons laisse place à la clameur allègre qui s'élève de volées de cloches en sonneries de clairons, d'esplanades de grandes villes en places de villages.
M.Henri Kurowski Président des Anciens Combattants de Camiers prononce par son discours les mots de circonstance à l'occasion du Centenaire de la signature de l'armistice du 11 novembre 1918.
M.Gaston Callewaert, Maire de Camiers entouré de son conseil municipal, lit à son tour le Message du Président de la République.
M.Callewaert et M.Kurowski prononcent à haute voix les noms des
"Morts pour la France" en 1914-1918
inscrits sur le monument aux morts.
Les élèves de l'école primaire étaient également présents à cette cérémonie du Centenaire de l'Armistice 1914-1918.
M. Hubert Tourret a été présent en Algérie dans les années 1962-1963
M. Hubert Tourret reçoit ce jour du Centenaire de l'Armistice 1918 la Médaille de la Reconnaissance de la Nation . Nous lui présentons nos sincères félicitations.
La photo de groupe de ce 11 novembre 2018
Une visite est faite à la zone Mémorielle pour s'incliner devant
les stèles de John Mc Crae et Fitzsimons
Retour en Mairie pour quelques remerciements et bien entendu pour le pot de l'amitié et de la Paix
Française, Français, nous aussi unis en ce jour dans la conscience de notre histoire et dans la refus de la répétition. Car ce siècle qui nous sépare des terribles sacrifices des femmes et des hommes
de 14-18 nous a appris la grande précarité de la Paix
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